Menottée dans la voiture en route pour l’inconnu pendant le confinement

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il y a 4 ans
Il était 21 heures quand Maître (qui est un médecin du SAMU) m’a demandée d’aller enfiler ma robe noire des soirées BDSM avec des bas et rien d’autre comme sous-vêtements. On peut sortir avec cette robe dans la rue même si elle est très courte mais elle affiche clairement que ce n’est pas à un mariage que l’on va....

Je sentais qu’il avait envie de jouer, de me rendre folle comme il sait si bien le faire. Comme d’habitude je lui ai demandé ce qu’il avait en tête, et comme d’habitude il m’a répondue « tu verras bien ». Demi-heure plus tard, puisqu’il fallait bien que je me maquille un peu, nous sommes montés dans la voiture. Il m’a faite me pencher en avant sur le siège et m’a menottées mains dans le dos. Il a posé mon collier de soumise avec la laisse. "La sécurité est importante ma chérie, même si je vais te livrer en pâture comme la pire des catins". Sans m’en dire plus il m’a mis ma ceinture de sécurité avant de démarrer le moteur.

J’étais menottée, en route vers l’inconnu, dans une tenue ne laissant aucun doute sur la « salope » soumise. Allait-il me livrer réellement à d’autres hommes en plein confinement ? Des médecins peut-être car il est loin d’être fou ? Il sait que c’est un de mes fantasmes mais que je ne souhaite pas réellement le réaliser, mon mari me suffit. Hélas, un soir de crise d’affection, peut-être un peu trop arrosé, j’avais signé un contrat de soumission indiquant qu’il pouvait me faire prendre par qui il voulait. Est-ce que ce jour fantasmé mais tant redouté était arrivé ?

Je ne le savais pas puisqu’il ne voulait rien me dévoiler. Un feu est passé au rouge, d’une main il a ouvert le haut de ma robe et exposé ma poitrine. Si une voiture avait été à côté de nous, entre mon collier, ma laisse et mes seins à l’air, le mec aurait été convaincu que je suis une chienne soumise comme le dit parfois mon mari dans nos jeux.

Au feu suivant, il a plongé sa main entre mes cuisses. Ses doigts sont devenus inquisiteur de clitoris, explorateur de mon puits des plaisirs. Lorsque le feu est passé au vert, j’ai regretté qu’il n’ait pas été plus long.

  • Tu es mouillée comme une salope en manque, pour une pute qui va à l’abattage c’est original ! M’a dit mon mari en jouant avec les mots crus comme il le fait parfois.

Au feu suivant, il a attrapé un sac derrière le siège, en a sorti le magic wand massager puissance 10 qu’il a mis entre mes cuisses. Il l’a bien poussé vers le haut de la fourche de mes jambes et mis en route.

Au feu suivant, de son sac derrière le siège il a sorti un bandeau et me l’a mis sur les yeux.

Il s'est encore arrêté, je ne sais pas si c’était pour un feu ou pas puisque je ne voyais pas, il a posé des pinces sur mes tétons qui pointaient beaucoup d’après lui. Nous avons roulé encore un moment, de temps en temps il tirait sur la chaîne des pinces à sein en me disant que j’avais intérêt à assurer.

J’ai compris que nous étions arrivés quand il a ouvert la fenêtre de sa portière. La voiture s’est mise à pencher en avant, les pneus criaient dans les virages, j’ai compris que nous étions dans un parking souterrain. J’étais terrorisée quand il s’est garé et a coupé le moteur. Il est sorti de la voiture en disant « bonsoir messieurs » et là, j’ai cru mourir un peu. Mes dents claquaient, j’avais envie de pleurer. Quand la portière s’est ouverte je ne savais pas si c’était lui ou un des hommes qu’il avait du choisir pour me faire « saillir » comme il se plait à le dire. L’homme s’est penché sur moi dans la voiture, a décroché la ceinture de sécurité et m’a faite sortir. Sa main était gantée, en plein confinement les gens se protégeaient, cela ne m’a pas étonnée.

Il m’a conduite par le bras devant la voiture et m’a faite me pencher en avant sur le capot chaud puis écarter les jambes. Sa main a commencé à me fouiller, je l’ai trouvé brutal, heureusement que mon mari m’avait chauffée pendant le trajet. J’ai commencé à haïr ce mec pour ce manque évident de délicatesse. Avec sa main il a guidé sa verge et ma prise comme ça de but en blanc avec vigueur, un peu comme si faire mal était un signe de virilité. J’ai eu de la chance, c’était un précoce, cela n’a pas duré longtemps.

Un autre homme a caressé mes fesses puis a tiré sur la laisse de mon collier pour que je me lève et que je m’agenouille sur le béton froid. Il m’a donnée des gifles avec sa verge avant de la présenter à ma bouche pour que je le suce. Quand j’ai constaté qu’il n’avait pas de préservatif j’ai compris que c’était mon mari et Maître. J’ai trouvé l’homme tout de suite plus sympathique !

Il m’a faite me relever pour me remettre penchée en avant sur le capot de la voiture, a mis un peu de lubrifiant sur mon anus et m’a prise un peu brutalement en essayant de se faire passer pour un autre. Je lui ai pardonné et me suis laissée défoncer en anal en imaginant que c’était un autre homme à qui il m’avait offerte.

Le paradoxe est que si cela avait été un autre, je n’aurai pas aimé, alors que là, j’ai joui comme une folle. La possession de mon être était double, physique et mentale, j’étais totalement la « chose » de mon Maître.

Il a joui en moi, je vibrai de le sentir heureux autant que de mon propre plaisir.

Quand il m’a libérée du bandeau et des menottes en me demandant si j’avais aimé sa surprise, j’ai répondu en l’embrassant comme une folle avant de lui dire qu’il fallait que l’on rentre sans tarder parce que j’avais envie de le « v i o l e r d’amour ».

Pour rentrer il a mis le gyrophare et on ne s’est plus arrêté aux feux rouges.

FIN

TSM

Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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